Le traitement des polypes, de façon générale, nécessite une intervention chirurgicale à type d'ablation qui porte le nom de polypectomie. Celle-ci s'effectue le souvent par voie endoscopique. Ensuite ils sont examinés en histologie (visualisation directe des cellules qui constituent le polype) de façon à éventuellement mettre en évidence un processus cancéreux.
Certains polypes, c'est le cas des polypes des fosses nasales, ont tendance à récidiver. C'est la raison pour laquelle les patients doivent subir à nouveau une intervention chirurgicale qui procède à l'ablation de ces polypes nasaux.
Les polypes intestinaux doivent être retirés sans attendre. En effet, il s'agit d'une intervention qui fait l'objet de mesures de prévention du cancer du colon. Les polypes du colon, à l'instar des polypes de la vessie, en général ont une certaine tendance à récidiver ce qui nécessite une surveillance et une réintervention chirurgicale (polypectomie répétée)
En ce qui concerne les polypes utérins, leur ablation est généralement associée à un contrôle de la cavité de l'utérus grâce à l'hystéroscopie. C'est ainsi, que chez certains patients, l'hystéroscopie permet de mettre en évidence un cancer du col de l'utérus.
Le terme polypectomie désigne l'ablation chirurgicale d'un polype. Une polypectomie se pratique sous anesthésie locorégionale. Chez certains patients il est nécessaire d'effectuer une anesthésie générale. La polypectomie est une intervention bénigne qui ne nécessite pas à long séjour à l'hôpital.
Pour effectuer une polypectomie il faut, au préalable, faire une endoscopie qui nécessite un tube muni d'un système optique. Ce système optique comporte également des instruments dont la taille est inférieure aux instruments habituels. Si le polype que l'on désire retirer est de gros volume ou bien s'il n'est pas accessible ou difficilement accessible grâce à l'endoscopie, il faut intervenir chirurgicalement de manière conventionnelle, habituelle (les chirurgiens parlent d'intervention à ciel ouvert)
Les techniques utilisées pour procéder à l'ablation des polypes sont variées. Elles sont bien entendu directement dépendantes de la localisation du polype sur lequel le chirurgien désire intervenir. Le plus souvent il procède tout d'abord à la section de la partie basse du polype en utilisant un bistouri électrique ou bien une pince coupante. Quelquefois il utilise également un fil qui enserre la base où le pied du polype.
Il est toujours procédé à un examen histologique (composition des cellules) du polype qui a été retiré. En effet, ceci permet de procéder à la vérification des cellules sous microscopie de façon à mettre en évidence, éventuellement, la présence de cellules cancéreuses.
L'évolution du polype, après son ablation, se fait de la façon suivante. À l'endroit où le polype a été retiré se constitue une petite plaie plus précisément une escarre c'est-à-dire une zone où les tissus ne sont plus vascularisés, zone qui est susceptible de tomber et de saigner.
Certains polypes, c'est le cas des polypes des fosses nasales, ont tendance à récidiver. C'est la raison pour laquelle les patients doivent subir à nouveau une intervention chirurgicale qui procède à l'ablation de ces polypes nasaux.
Les polypes intestinaux doivent être retirés sans attendre. En effet, il s'agit d'une intervention qui fait l'objet de mesures de prévention du cancer du colon. Les polypes du colon, à l'instar des polypes de la vessie, en général ont une certaine tendance à récidiver ce qui nécessite une surveillance et une réintervention chirurgicale (polypectomie répétée)
En ce qui concerne les polypes utérins, leur ablation est généralement associée à un contrôle de la cavité de l'utérus grâce à l'hystéroscopie. C'est ainsi, que chez certains patients, l'hystéroscopie permet de mettre en évidence un cancer du col de l'utérus.
Le terme polypectomie désigne l'ablation chirurgicale d'un polype. Une polypectomie se pratique sous anesthésie locorégionale. Chez certains patients il est nécessaire d'effectuer une anesthésie générale. La polypectomie est une intervention bénigne qui ne nécessite pas à long séjour à l'hôpital.
Pour effectuer une polypectomie il faut, au préalable, faire une endoscopie qui nécessite un tube muni d'un système optique. Ce système optique comporte également des instruments dont la taille est inférieure aux instruments habituels. Si le polype que l'on désire retirer est de gros volume ou bien s'il n'est pas accessible ou difficilement accessible grâce à l'endoscopie, il faut intervenir chirurgicalement de manière conventionnelle, habituelle (les chirurgiens parlent d'intervention à ciel ouvert)
Les techniques utilisées pour procéder à l'ablation des polypes sont variées. Elles sont bien entendu directement dépendantes de la localisation du polype sur lequel le chirurgien désire intervenir. Le plus souvent il procède tout d'abord à la section de la partie basse du polype en utilisant un bistouri électrique ou bien une pince coupante. Quelquefois il utilise également un fil qui enserre la base où le pied du polype.
Il est toujours procédé à un examen histologique (composition des cellules) du polype qui a été retiré. En effet, ceci permet de procéder à la vérification des cellules sous microscopie de façon à mettre en évidence, éventuellement, la présence de cellules cancéreuses.
L'évolution du polype, après son ablation, se fait de la façon suivante. À l'endroit où le polype a été retiré se constitue une petite plaie plus précisément une escarre c'est-à-dire une zone où les tissus ne sont plus vascularisés, zone qui est susceptible de tomber et de saigner.
